Posté le 1 septembre 2022 par La Rédaction

Danse, cirque, théâtre, chanson, marionnettes : chacun, cette année encore, devrait pouvoir trouver son bonheur dans une programmation exubérante.

Une dizaine de spectacles de danse avec des projections, et un grand bal pop pour ouvrir la saison 2022-2023 du Théâtre de Bourg-en-Bresse ! La 11e édition du festival T’en veux encore, du 6 au 11 septembre, résume à elle seule l’exubérance de la programmation. À Bourg-en-Bresse, mais aussi alentour grâce aux dispositifs des Petites scènes vertes et de Terr[Ain] de jeu. Pour les amateurs de théâtre, un des plus grands classiques de la scène française, L’Avare de Molière, sera présenté les 17, 18 et 21 janvier dans une mise en scène de Benoît Lambert (La Comédie de Saint-Étienne). Les 30 et 31 mars, Éric-Emmanuel Schmitt, seul en scène, osera affronter son texte Madame Pylinska et le Secret de Chopin : tendresse, humour et émotion garantis. Et puis il y aura Au non du père (Cf. ci-dessous) dans différentes communes du département : un voyage gastronomico-théâtral autour de la question de la filiation.

Du théâtre, mais pas que…

Parmi les concerts programmés au fil de la saison, on notera Misia Sert, Reine de Paris avec Julie Depardieu, Juliette Hurel et Hélène Couvert (29 et 30 septembre). Et ceux de Thomas Fersen (9 et 10 mars) et de Rover, au carrefour de toutes les musiques, punk, pop, classique, contemporaine, qui présentera les 17 et 18 novembre l’Eiskeller Tour, l’univers de son troisième album. Foisonnante, la programmation du Théâtre de Bourg aligne une bonne quarantaine de propositions. En théâtre, en chanson et en danse (dont Näs, de la compagnie Massala, Queen Blood d’Ousmane Sy, et Baobabs, du groupe Grenade, à retrouver au printemps). Les circassiens sauront aussi vous émouvoir, notamment avec Les Hauts plateaux de Mathurin Bolze. De même que les marionnettes, ces graines de stars, qui vont se faire une jolie place cette année encore, grâce à Arnica et la compagnie Sans soucis entre de nombreux autres. Sans compter quelques objets pas vraiment identifiés comme Thomas Poitevin et ses perruques, attendus avec impatience par pas mal d’internautes. Ou encore Dark Was The Night, d’Emmanuel Meirieu.