C’est devant le stade historique du FFBP01 que nous avons rejoint David Venditelli, président du club, pour essayer la nouvelle Mercedes Classe C All Terrains. « Très belle voiture », commente au premier regard David Venditelli, séduit par l’élégance des lignes de la nouvelle Mercedes et son petit côté baroudeur, donné par une garde au sol relevée. Pas qu’une question d’apparence, car cette Classe C est capable d’affronter pistes et routes enneigées. Elle est dotée de la fameuse transmission intégrale 4Matic avec ses modes spécifiques pour des évolutions en terrain délicat. À l’intérieur, pas de doute, c’est une Mercedes, assure notre pilote, habitué à conduire différents modèles du constructeur allemand. Un habitacle tiré à quatre épingles et ultradigital ! Les inserts décoratifs en boiseries sur la planche de bord et l’impressionnant écran multimédia de près de 12 pouces nous accueillent. « Les sièges sont ergonomiques, et regardez comme tout tombe sous la main !« , commente David Venditelli, agréablement surpris par l’habitabilité arrière généreuse et le volume de coffre (490 litres).
Et sur la route ?
Une conduite mœlleuse et un véhicule très maniable malgré son gabarit, c’est ce qu’offre cette nouvelle Mercedes Classe C All Terrains sur la route comme sur les chemins. Vous pouvez jouer sur les modes de conduite spécifiques : Off road et Off road+. Ce dernier, limité à 45 km/h, offre un contrôle automatique de vitesse en descente réglable et applicable en marche avant comme en marche arrière ! De base, cette Classe C est richement dotée : climatisation automatique bi-zone, démarrage sans clé, sièges avant électriques avec soutien lombaire, jusqu’aux aides à la conduite comme la reconnaissance des panneaux de circulation, l’alerte de somnolence, les avertisseurs d’angle mort et de franchissement de ligne…
Cette nouvelle Classe C est proposée avec deux motorisations micro-hybrides, en essence 200 et diesel 220d. C’est cette dernière version que nous avons essayée. Elle prouve que si les SUV restent à la mode, il existe bel et bien une autre voie pour ceux qui veulent sortir des sentiers battus en toute sécurité : le break baroudeur chic de Mercedes !
David Venditelli vise la Ligue 2
J oueur, agent et désormais président. Dans le milieu du foot, David Venditelli aura connu presque tous les métiers. Ce Lyonnais, passé par le prestigieux centre de formation de l’OL, aura joué dans toutes les catégories des jeunes sans connaître de titularisation en équipe professionnelle. Il fera ensuite le bonheur de plusieurs clubs de niveau équivalent au national avant de reprendre les études et le chemin de l’entreprise familiale de transport. Un groupe devenu leader français du transport en électroménager vendu en 2005. David revient dans le monde du foot comme agent. Sa société Score Agencies sera la première à proposer aux joueurs toute une gamme de services, du juridique à la gestion de patrimoine. Elle deviendra très vite une référence en France et en Europe, gérant plus de 120 joueurs ou entraîneurs réputés comme Galtier ou Lacazette. « Après 22 ans, j’avais fait le tour du métier. J’avais envie de mettre en place mes idées et ma vision du foot dans un club. C’est pour cela que j’ai décidé de reprendre le FBBP01 en 2020. Aujourd’hui, je dois investir pour reconstruire. Il n’y a pas de modèle économique en National. On perd de l’argent. Pour ne pas en perdre, il faut être en Ligue 2 et être bon« , explique le président qui, en avril, sera épaulé par un nouveau directeur général ayant pour objectif de développer le business hors foot.
Côté voiture, David Venditelli est un fidèle client du constructeur allemand. « J’apprécie le confort, la sécurité et le sérieux de Mercedes. La gamme aussi« , assure ce père de famille (deux enfants), qui aime le confort et l’espace que lui procure son Mercedes GLC hybride. « Je roule 40 à 55 000 kilomètres par an. Donc le confort est primordial. C’est ce que j’ai retrouvé au volant de cette nouvelle Mercedes Classe C, très maniable, avec une vraie visibilité et de l’espace. Vraiment une belle voiture », conclut le président bressan.
