Posté le 1 février 2022 par La Rédaction

« Janvier ! » criait Gabin, perçant l’ouïe de Funès, dans La Traversée de Paris. Dans celle de Bourg, d’autres mois ont panneau sur rue. Mars a son champ, où s’exerçaient naguère à la guerre les hommes des casernes Aubry et Brouet. Après mars, pas de farce facile cousue de fil à pêche, avril n’ayant à Bourg ni rue ni bassin. Le 1er mai, lui, a sa place, mais trop loin de l’avenue du Maréchal-Juin qui, elle, joint logiquement le boulevard de l’homme du 18 : va comprendre, Charles… L’été passé, voici septembre, dont la rue se met en 4 pour vous amener au champ de foire. Là, deux mois plus tard, à la vogue de la Saint-Martin, vivez en l’air l’émoi de novembre, avant de « redécembre » !