Miss Pays de l’Ain : Alizée Bidaut
Alizée Bidaut, Miss Châtillon Pays de Dombes 2023 et couronnée Miss Pays de l’Ain le 8 juillet à Gex, poursuit son aventure vers les élections régionales de Miss Rhône-Alpes. Originaire de Saint-Genis-sur-Menthon, la jeune femme de 22 ans se prépare pour l’élection régionale de Miss Rhône-Alpes. Celle-ci aura lieu le 23 septembre à La Roche-sur-Foron (74). Qualificative pour poursuivre l’aventure au niveau national, cette élection est l’avant-dernière étape avant de tenter l’accès à la couronne de Miss France 2024. Alizée confie : « Depuis petite, j’ai toujours suivi l’aventure des Miss d’assez près. Cette année, j’avais envie d’avoir un changement dans ma vie. » Chose dite, chose faite.
Samedi 23 septembre, à 20 h au Parc des expositions
de La Roche-sur-Foron
20 à 50 €
Miss Bresse : Dina Nacia
La nouvelle Miss Bresse s’appelle Dina Nacia. Elle a 21 ans, et vit à Château-Gaillard. À la rentrée, elle intégrera un master Ressources humaines à Lyon. Dina pratique l’équitation depuis toute petite, mais aussi le foot avec sa petite sœur à Ambérieu. Élue samedi 3 juin à Ainterexpo, Dina poursuit l’expérience en se présentant à l’élection Miss Pays de l’Ain samedi 8 juillet 2023. Élection dont elle sort 4e dauphine. Grâce aux concours, et à force de travail – en s’entraînant chaque soir à marcher avec des talons, répéter les danses et son discours -,Dina a pris confiance en elle. Elle a pu compter sur sa famille, ses plus fidèles supporters, présents à chaque élection. Ce sont eux qui l’ont poussée à réaliser son rêve de petite fille. Dina aimerait retenter l’expérience pour aller plus loin encore… jusqu’à Miss France, qui sait ?
Prix Magville : Améline Razurel
• Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Améline Razurel, j’ai 18 ans, j’habite à Vaux-en-Bugey. Je viens d’avoir mon Bac professionnel Soins et services à la personne. L’année prochaine, j’intègre une école d’infirmière à Hauteville. Je souhaite devenir infirmière puéricultrice.
• Pourquoi as-tu tenté le concours Miss Bresse ?
Depuis petite, j’ai une maladie au cœur. J’ai subi deux opérations à cœur ouvert qui m’ont laissé de grosses cicatrices. Avant le concours, je n’assumais pas forcément la maladie. Un jour, j’ai eu un déclic. Je me suis dit que, même avec une maladie et des cicatrices, on peut se trouver belle. Ce concours était logique pour moi. Je voulais prouver aux autres, me prouver aussi, que je peux être féminine malgré tout.
• Le rugby, une passion pour toi ?
J’ai fait de la gym pendant 14 ans, j’ai dû arrêter brutalement suite à ma maladie. En 2020, une lourde opération m’a empêchée de pratiquer. Mais j’avais besoin de penser à autre chose et de me trouver une activité. Alors je me suis inscrite au rugby, en évitant tous les contacts dans un premier temps, et j’ai adoré. Je suis devenue très rapidement une passionnée, j’y ai trouvé une deuxième famille. Le rugby, c’est une sorte de revanche sur la maladie.
• Que retires-tu du concours ?
Je suis fière d’avoir tenté l’expérience. J’ai appris à gérer mon stress. Le plus dur a été de retenir les chorées (6 au total). Je suis multi-dys : synchroniser les pas de danse et les bras n’était pas évident. Mais je me suis prouvé que j’étais capable. Un lien s’est créé avec les autres candidates, nous sommes devenues une vraie famille, et nous nous sommes soutenues les unes les autres.
« Même avec une maladie et des cicatrices, on peut se trouver belle »
Améline Razurel
